dimanche 28 mars 2010

Une fille qui monte !

Petit passage par la case théatre du Bout (Pigale) pour un One Man Show d'une pétillante drôlerie nommée Bérangère Krief.
Pas encore de site internet officiel mais une page Facebook où vous pourrez suivre son évolution et surtout ses spectacles ! On se presse, la jeune femme devient de plus en plus sollicitée !

mercredi 14 octobre 2009

Comme un air de marseillaise… Les cuissardes 1/3

Rien ne va plus aujourd’hui en France : entre Jean Sarkozy nommé à la tête de l’EPAD, les grèves des transports qui ne vont pas tarder à arriver (novembre n’est plus très loin) et les
500 000 chômeurs de plus en 2009, il y a presque de quoi avoir envie de mourir de la grippe A… Mais cessons là le pessimisme et réjouissons-nous !

Un flot de bonnes nouvelles arrivent sans plus tarder : Twitter est prochainement en français (souvenez vous la liesse française lorsque Facebook a été traduit), les bleus ne sont pas encore complètement écartés de la prochaine coupe du monde mais la bonne nouvelle du mois d’octobre c’est surtout (outre mon anniversaire) l’arrivée fracassante de LA cuissarde !

Fracassante dis-je ? J’exagère peut-être un tantinet. Il est vrai que ce phénomène de la chaussure est pour le moment plus présent dans les pages des magazines mode qu’aux jambes des parisiennes. Et pourtant, la montée progressive des spartiates est bien l’exemple idéal pour vous prouver qu’un phénomène mode n’est pas toujours l’exclusivité d’une saison.

Alors résumons : Les cuissardes montent tellement haut qu’elles « cassent » la silhouette de toutes les filles normalement constituées (j’entends par là toutes les filles non mannequins), les cuissardes sont soit très serrées pour empêcher les filles rondes de s’y mettre, soit larges pour grossir les brindilles, elles rapetissent les petites et les grandes, elles sont onéreuses et par-dessus tout, elles incitent la gente féminine à revenir à l’exclusivité de la jupe. Et tout ça au nom de la mode me dites vous ?

Et si on nous mentait ? Et si les magazines tentaient cette année de infliger des bottes de fille de joie par pur envie de voir jusqu’où les femmes du monde peuvent aller en matière de bottes des marais (et non pas du marais) ? Et si les parisiennes, pas si frileuses que ça, l’avaient compris ? En vérité je le clame haut et fort : je me tenterai aux cuissardes le jour où Karl Lagerfeld s’excusera pour ses propos sur les rondes et la mode…

A suivre...

lundi 12 octobre 2009

Génération stagiaire ou comment trouver un emploi en octobre 2009

Ma chère Natalire tu m'honores et j'attends très bientôt de ta part que tu t'essayes à la prose sur MON blog!!


Jeunesse dorée, jeunes cadres dynamiques, jeunes actifs, jeunes diplômés, jeunes chômeurs, jeunes, jeunes, jeunes…. Laissez-moi-vous présenter la jeunesse 2009 !

Nous sommes diplômés, nous avons voyagé, nous possédons une, deux, la plupart du temps trois langues étrangères, nous sortons de l’école ou de l’université avec plus de spécialisations que nos ainés n’en ont jamais eu, nous avons couru pour trouver financements, visas, recommandations, billets d’avion, logements en France et à l’étranger, pré-entretiens et entretiens d’admission en L3, M1, IUP, M2, MBA, nous sommes dégourdis, vendeurs, matures, adaptables, souriants, dynamiques, motivés…. Et nous sommes la génération stagiaire !

Fraichement diplômée d’école de commerce pour laquelle je me suis endettée avant même d’avoir commencé à gagner ma vie « parce que ça rassure l’employeur que tu sortes d’une bonne école ! » je me retrouve comme mes camarades de 23 ans et plus à la recherche de mon premier emploi. Monster, l’APEC, cadres emploi, Mickael Page, pôle emploi vous connaissez ? Décryptage détaillé des offres d’emploi 2.0 mention spéciale « période de crise ».

CONTEXTE : Ton stage de fin d’étude s’est bien passé. Tu as eu beaucoup de responsabilités, une équipe entière à gérer, une foule de problèmes à régler, trois supérieurs hiérarchiques à supporter, des objectifs à atteindre et des clients à conserver. D’accord tu as été sous-payé, mais ils avaient promis de t’embaucher. Ta carrière professionnelle allait être lancée à la fin des six mois que durait ton stage. Oui mais voilà, c’est sans compter sur la crise actuelle qui « tu comprends, nous empêche d’avoir une vision à long terme ». Investir dans un employé, soit, mais pas à n’importe quel prix. Tes prétentions salariales sont trop élevées (rapport à l’école de commerce tu me suis ?)et le verdict tombe : « Tu ne sais pas bien réagir au stress ». Comprend par là « On va embaucher un autre stagiaire qui fera certainement bien l’affaire ».

Retour pour toi à la case « je cherche un boulot de junior correctement payé où je pourrais m’éclater ». Analysons ensemble les 5 cas que tu risques de rencontrer :

Cas N°1 : « Vous avez au moins deux ans d’expérience dans un poste similaire »

Tes expériences de stagiaire (même si elles dépassent les 21 mois en 5 ans de scolarité) n’étant pas considérées comme significatives car « formatrices », tu te vois dans la nécessité de te cantonner aux postes de junior.

Cas N°2 : « Contrat : CDD »

On t’a appris qu’il faut savoir transformer certains faits dans ton CV. Alors comme tout le monde, tu as retiré le mot « stage » qui ne sera mentionné que si l’employeur te le demande. Pas bêtes les entreprises qui ont compris qu’elles pouvaient faire pareil ! Clique donc sur une offre de CDD, tu auras une chance sur deux de te retrouver devant une offre de stage. Moralité : Sache détecter les vrais jobs des offres de stage camouflées.

Cas N°3 : « Notre croissance soutenue et constante depuis plus de 15 ans nous amène à recruter un(e) assistant(e) Marketing opérationnel. »

Bien que ton ancienneté te cantonne à postuler à des postes d’assistants, tu seras bien déçu d’apprendre qu’aujourd’hui être « assistant de » correspond la plupart du temps à être « stagiaire de ».

Cas N°4 : « Nous vous remercions de votre candidature malheureusement votre profil ne correspond pas au poste que nous proposons ».

Curieux d’apprendre que tes études en achats internationaux ne correspondent pas au poste d’acheteur en Europe de l’est ? Comprend par là que d’autres candidats BIEN plus expérimentés ont été choisi à ta place. Moralité : pour un poste de junior mieux vaut avoir déjà 4 ans d’expérience.

Cas N°5 : « Vous êtes motivé, avez le sens du relationnel et du travail en équipe, vous êtes adaptable, organisé et les challenges ne vous font pas peur ? Rejoignez nous »

Là tu te dis, « cette offre est fait pour moi ». Non mon ami. Pour un poste de junior, mieux vaut savoir : écouter, se taire, ne pas intervenir, faire des présentations PowerPoint et ne pas contredire ton supérieur.

Conclusion à l’histoire ? Continuez vos études c’est le moment, y a pas de boulot et retourner à l’université vous permettra peut-être de gagner votre vie en tant que boursier. Si vous comptez déjà vos diplômes par dizaines, faites comme Nat, repartez en vacances !

lundi 21 septembre 2009

Tout le monde en parle


Tout de même vachement d'actualité mon affaire.... C'est ici !

dimanche 20 septembre 2009

On m'aurait menti ?

Le dernier "Elle" a suscité l'admiration de ma fashion de soeur pour une brindille satinée mise en scène par Nina Ricci. "Halte là" ais-je rétorqué à ses lamentations que les mannequins de ce magazine étaient trop "bêêêêêêêêêêêêlles", les publicités d'aujourd'hui sont bien sur toutes retouchées personne ne l'ignore. Je me mit illiquo presto en quête de lui prouver, avec l'aide du formidable outil d'information qu'est le web, que les mannequins ne sont en fait pas si lisses et galbées qu'on veut bien nous laisser croire.


Et bien des retouches il y en a ! Et pas des moindres, entendu que le boulot de nombreux internautes doit être de parcourir le net et les magazines à la recherche de LA perle de retouche ratée ou flagrante. Un blog a particulièrement retenu notre attention et nous a fait passer 3 bonnes heures délicieuses est Photoshop disasters. Je vous le recommande, on réalise que certains graphistes ont parfois la main lourde, ou un gros poil dans cette dernière pour laisser filer des publicités désastreuses. Celles qu'on a préféré restent tout de même les bétises que laissent passer les directeurs de création des grands parfumeurs et couturiers.

Pour la route, la publicité contre le retouchage par Dove (oui parce Dove, ils retouchent ab-so-lu-ment pas leurs photos bien sur!)



vendredi 11 septembre 2009

Elle vs Grazia : Le match


Back dans les Backs avec ful de choses à faire en cette rentrée qui n'est plus scolaire, youpi. Trouvage d'emploi, pose de vernis et ralâge en série, j'ai tout de même le temps d'effectuer mon mea culpa : je l'ai acheté, certes mais je tiens à préciser que ce n'est que dans le but de me faire ma propre idée sur la question. "mais de quoi parle-t-elle à la fin, je n'en peux plus d'attendre, cette souffrance est trop grande?" vous dites vous à l'instant même...


...MAIS DE GRAZIA PARDI LES FILLES !


C'est un fait. Il ya de la concurrence dans l'air pour mon "Elle" adoré. Je l'avoue, j'ai commencé à lire "Elle" depuis mon arrivée à Paris, et cette version parisienne m'a convaincue, ce que n'avaient pas réussi la version lyonnaise ou même québécoise. Et voilà qu'à mon retour de vacances, que vois-je ? Notre ami Le Monde annonçant le nouveau ras de marée secouant la planète "magazines féminins". Fichtre me dis-je, il me faut aller voir ça de plus près. Il m'a tout de même fallu quelques semaines et le passage devant quelques dizaines de kiosques à journaux (presque tous décorées aux couleurs de Grazia et de son étincelant prix de lancement jaune) pour me décider à l'acheter. Ce qui m'a décidé ? La curiosité de savoir quelles sont les 5 actrices françaises dans le vent...

Premier constat tout d'abord : pas la même qualité de papier. Photos moins mises en valeur même si je suis persuadée que la planète terre remercie ce geste très certainement écolo, sinon je ne vois pas d'autre raison... (le coût?)
Mais de très bonne volonté je suis. me voilà partie à la lecture de ce magazine made in Italy et effectivement très italien. Du bling bling, du Dolce and Gabbana en veux-tu en voilà, et des idées looks totalement hors de portée du porte monnaie. Oui mais me direz vous, chez Elle c'est la même chose. Oui, mais n'oublions pas que notre époque et à la récupération, au mélange Dior et fripperie et aux brocantes+tricot. Et Elle malgré les sacs griffés à chaque page, propose toujours un top new look ou un collier fait maison a coté.
Sinon je passerai sur les photos qui ne mettent pas en valeur les acteurs, tops models et autres people (Ce n'est pas Nora Arzeneder qui dira le contraire) les articles d'actualités déjà plus d'actualité (les droits de la soudanaise encourant la pein de 40 coups de fouets a été traité il y a plus d'un mois par Elle) et les potins people à foison qui permettent d'oublier que le magaine est d'aord centré sur la mode.
Accessoirement, ce qui me manque le plus c'est l'humour parfois hautain mais somme toute assez profond des redactrices de Elle, qui rend ce magazine si cher à mes yeux. les Alix Giraud de l'Ain, Lauren Bastide et compagnie, moi j'adhère complètement.
Finalement, c'est vrai je n'ai brossé un portrait féérique de ce "grâce" (et non pas grasse), c'est peut-être tout simplement parce que je n'adhère pas au principe du magazine comme : "féminin haut de gamme qui casse les codes, un journal de mode, d'actualité et de people". Bref moi j'ai tranché, je prefère payer 2€ que 1,50€....

samedi 15 août 2009

Coupe Rogers à Montréal

Pour ceux qui l'ignoraient, nous autres assistons présentement à la coupe Rogers, open de tennis à Montréal. Outre la chaleur qui accable ces pauvres joueurs, je remarque bien des différences entre le Québec et la France. En effet, alors qu'un québécois mettra un point d'honneur à parler de la coupe "Wogeurs", il insitera également sur le fait que Tsonga a trois balles de "bris", que Murray fait régulièrement des aces (prononcez ass) et que à 6 partout on assiste au jeu décisif. Pas d'anglissisme donc en tennis bien qu'on encourage tout de même de tout son coeur les "boys" présents sur le court. Je m'en retourne à la game, puisqu'il me semble que la balle de bris de Tsonga est "out"....